• oui comme d'ab je me fais bien remarquer

    je sortais du coiffeur toute bien coiffé super brushing genre meuf fashion sexy...

    bref passons, nous rentrions chez nous, j'etais assise devant, le coude appuyé sur le siege de ma mere qui conduisait. Et machinalement je regardais l'etat des lieux sous mon aisselle (si yavais besoin d'épiler quoi!) et au moment ou je releve la tete je vois que le jeune conducteur de la voiture de devant n'arretait pas de me matter dans son retro...moi je rougis et eclate de rire ! la honte !!! je cherche mes poil pdt qu'un mec me matte !

    le feu se met au vert et la il me fais un coucou dans le retro, je lui repond morte de rire...et il trace à toute allure!

    au final, un bon fou rire avec ma mere!!


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  • Tu me manques…

    Tu me manques sans que tu ne le saches

    Tu ne me donnes pas de tes nouvelles

    Tu ignores mes messages,

    Tu ne réponds pas à mes appels

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Je pensais pas qu’un jours ont puisse me manquer à se point la

    Moi et mon cœur si dur comme du verre

    Et qui se fissure petit à petit pour toi

    Je crois que j’en fais un peut trop

    Mais je sens que je ne peux pas me passer de toi

    <o:p> </o:p>

    Quand j’entends une musique

    C’est ton visage qui se dessine

    Quand j’entends ton prénom

    C’est vers toi que mes pensé vont

    <o:p> </o:p>

    Dans ma tête j’entends sans cesse ta voix

    Comme si tu étais près de moi

    Ce qui n’est pas le cas…

    Tu es trop loin de moi

    <o:p> </o:p>

    Même lorsque je dors je pense à toi

    Mes rêves te sont dédiés

    Tu hantes mes pensées

    Et m’empêche de t’oublier

    <o:p> </o:p>

    Je ne sais pas si un jour je te reverrai

    Mais aujourd’hui c’est mon seul souhait

    Ne serai ce qu’une seule fois

    <o:p> </o:p>

    Je voudrais tant t’avouer mes sentiments

    Te montrer à quel point je tiens à toi

    Quand j’embrasse un autre homme

    C’est toi que j’embrasse

    Que m’as-tu fais

    Comment t’oublier ?

    <o:p> </o:p>

    J’ai vraiment besoin de toi

    Où je risque de devenir folle !

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

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  • Tu me manques…

    Tu me manques sans que tu ne le saches

    Tu ne me donnes pas de tes nouvelles

    Tu ignores mes messages,

    Tu ne réponds pas à mes appels

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Je pensais pas qu’un jours ont puisse me manquer à se point la

    Moi et mon cœur si dur comme du verre

    Et qui se fissure petit à petit pour toi

    Je crois que j’en fais un peut trop

    Mais je sens que je ne peux pas me passer de toi

    <o:p> </o:p>

    Quand j’entends une musique

    C’est ton visage qui se dessine

    Quand j’entends ton prénom

    C’est vers toi que mes pensé vont

    <o:p> </o:p>

    Dans ma tête j’entends sans cesse ta voix

    Comme si tu étais près de moi

    Ce qui n’est pas le cas…

    Tu es trop loin de moi

    <o:p> </o:p>

    Même lorsque je dors je pense à toi

    Mes rêves te sont dédiés

    Tu hantes mes pensées

    Et m’empêche de t’oublier

    <o:p> </o:p>

    Je ne sais pas si un jour je te reverrai

    Mais aujourd’hui c’est mon seul souhait

    Ne serai ce qu’une seule fois

    <o:p> </o:p>

    Je voudrais tant t’avouer mes sentiments

    Te montrer à quel point je tiens à toi

    Quand j’embrasse un autre homme

    C’est toi que j’embrasse

    Que m’as-tu fais

    Comment t’oublier ?

    <o:p> </o:p>

    J’ai vraiment besoin de toi

    Où je risque de devenir folle !

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  • Alors que ma soeur et moi étions avec deux mecs dans une voiture a Disney entrain de fumer des joins à 2h du mat'...on voit une voiture passer à coté de nous. Rien de grave...ceci dit, la voiture repasse une seconde fois mais s'arrête derrière nous et la un petit bonhomme rasé avec un pull col roulé rouge en laine (sûrement celui que mémé lui a tricoté pour ses 30 ans !) me fou sa lampe torche dans la tronche, ce qui m'éblouit tout de suite et me força à détourner le regard. C'était un policier, je senti la panique m'envahir...c'est tellement rare que je fume !!! <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    J'étais assise derrière le conducteur. Le flic lui demande de couper le moteur et la musique. Moi tout se que j'avais dans les mains e heureusement, c'était une pochette de CDS et un gros coussin allongé. Oui en fait pour l'histoire des coussins y'en avait deux dans la voiture : un ou c'était marqué "love" et l'autre "peace"...et bien sur moi j'avais pris le peace sur mes jambes...<o:p></o:p>

    Bref passons se détails...Un flic arriva de l'autre coté de la voiture, à droite, et fils sortir le mec. Il le plaqua sur la voiture, lui fis vider ses poches sur le toit et se laissa fouillé...moi tétanisé je regardais serrant le coussin contre moi, j'avais jeté la pochette a cd...Ma soeur elle, ca la faisait rire...<o:p></o:p>

    Ensuite, l'autre avec sa lampe torche fit sortir le chauffeur. Même scénario, il le fouille. Puis c'est au tour de ma soeur de sortir...J'étais seule dans la voiture, seul avec mon coussin...pendant que un flic gardait les trois autres dehors, l'autre fouilla la voiture puis se mit à me poser des questions du genre : t'en as fumé? moi bien sure je ne connaissais pas les suite et ce qu'avait répondu les autres donc je dis machinalement non...et me fit une petite morale au passage...sûrement parce qu'il avait vu les tout petits yeux que je faisais et puis mon coussin PEACE n'a pas du m'aider grandement...<o:p></o:p>

    Il me demanda aussi si je connaissais les mecs, depuis combien de temps, si le conducteur était mon petit ami etc. Puis gêné, je demande au policier si je devais sortir... il me regarda longuement puis me dis allez y. J'ouvre la portière, déplies mes jambes...je voyais qu'il se tenais debout devant moi, avec un air impatient. Au moment ou je fus debout, il me regarda tellement bizarrement de la tête au pied que je fis une réflexion de trop : "oui je sais je suis grande" et il me rétorqua d'un air vexé "dites que je suis petit!" Et j'ai pouffé de rire, gêné par se qu'il venait de se passer. Les autres s'en mordaient les lèvres...Ils fouillèrent mon sac rapidement puis nous laissa remonté dans la voiture, mais resta planté derrière nous une bonne heure. On se décida enfin à rentré chez nous et bien sure on se refait arrêter par la police, mais cette fois c'était un pour un éthylotest…bien heureusement j'étais clean ! <o:p></o:p>

    Enfin bon, je me rappellerais de cette soirée, et ça ma appris qu'il faut tourner 7 fois sa langue dans la bouche avant de parler!<o:p></o:p>

     


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  • Je vivais paisiblement dans ma riche demeure, probablement un héritage, convoité par toutes les agences immobilières de la région et une en particulier.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Ce cauchemar a été comme si ma mère m'avait conté la veille un film qu'elle avait vu...mais apparemment non.

    <o:p> </o:p>

    Je portais une longue cap épaisse couleur argent, dans laquelle, des que je me sentais mise en danger par une personne présente auprès de moi, je me renfermais dedans comme un ermite dans sa coquille.

    <o:p> </o:p>

    Les scènes se déroulaient constamment la nuit. J'étais dans ma grande maison, lorsque des personnes viennent m'interrompre à mes occupations. Ces personnes sont menaçantes, la plupart du temps elles venaient seules, parfois des femmes, d'autres fois se sont des hommes. A chaque fois ils ont un moyen différent pour me tuer.

    <o:p> </o:p>

    -Une femme blonde veut m'étouffer dans mon salon en m'enfermant dans un sac en plastique en forme de combinaison intégrale.

    <o:p> </o:p>

    - Une autre femme débarque dans ma chambre, alors que j'ai fais surveiller par des dizaines de jeunes ma maison, et me poignarde de partout...à cette scène la, une autre personne est avec moi et se fait poignarder aussi. A un moment je suis bloqué sur le lit et elle m'entaille l'intérieur du pied. Le sang giclait de partout…

    <o:p> </o:p>

    - Puis un jour, ils étaient plusieurs à rentrer chez moi. Bizarrement je leurs avaient ouvert la porte. Ils insistaient pour que je signe un contrat. Sûrement des agents immobiliers qui souhaitaient absolument détenir ma résidence. Un homme d'environ 1m75, assez baraqué, la peau légèrement bronzé, avec des yeux bleu et des cheveux châtain claire préparait derrière moi sa perceuse électrique. Il y ajouta un embout et me perfora la tête. Une fois de plus le sang s’éparpilla…Dans cette scène je m'étais dédoublé. J'étais un homme en tant que victime et moi, la femme, en tant que spectatrice. Mais l'homme ne meurt pas il réagissait encore, clignait des yeux, tirait la langue etc...Sur le sol, il resta un gant orange, en latex sûrement, du tueur.

    <o:p> </o:p>

    Etrangement, jamais je ne mourrais…

    <o:p> </o:p>

    Un jour ils nous séquestrèrent moi et les jeunes et nous forcèrent a venir avec eux manger en ville. On parti chacun de son coté prendre un sandwich dans des boulangeries, et nous devions nous retrouver à un endroit précis, plus précisément sur des escaliers menant à l'entrée des égouts. Pendant que nous faisions la queue à la pâtisserie, nous étions envahies par des questionnements et la peur se voyait sur nos visages. De loin, les méchants gardaient un œil sur nous. L'un des jeunes prix un autre chemin pour nous rejoindre. Il marcha dans les eaux nauséabondes des égouts et tomba sur la combinaison en plastique qui avait été utilisé pour m'étouffer, ainsi que sur un gant orange. Il compris de suite que c'était leur cachette. Il nous rejoint tout de même.

    <o:p> </o:p>

    Une fois qu’on avait fini de grignoter, avec des faux air sympathique, les assassins nous proposèrent de faire une petite randonné. Je sautais sur l’occasion sans hésitation, en me disant que ce serait un moyen de leur échapper. Nous étions 4 ou 5 jeunes à les suivre.

    <o:p> </o:p>

    La ballade se déroula sans un mot, sans un bruit…je marchais vite, sans même penser à surveiller mes arrières… Tous se qui me préoccupais était de me sortir de là. Nous marchions dans des énormes rochers au bord de l’océan. Je décidai de me jeter à l’eau et de nager, pour moi c’était la seule solution pour fuir. Un autre jeune me suivit de prêt. Il y avait beaucoup de courant, je fatiguait et avait l’impression de faire du sur place. Je devenais folle, l’impression que jamais je ne m’en sortirais m’envahi…Voyant que j’étais à l’eau et que je peinais, ils décidèrent tous d’aller à ma poursuite à se moment la je commençais a avancer et sortir du courant…Je me rapprochais de plus en plus des cotes…pendant que mon compagnons de nage nageait sur le ventre moi, voyant les autres se rapprocher dangereusement de moi, je changea de position et nagea sur le dos. Ce fut une bonne idée qui me fit rapidement gagner de la distance face à eux ! Il y avait d’énorme vague, à chaque fois que j’allais en passé une, avant de plonger et passer dessous, c’était comme un jeu vidéo, la hauteur de chaque vague m’était indiqué de couleur rose fluo (80 m, 60m etc.).

    <o:p> </o:p>

    J’arriva enfin à la plage, et me mis à courir…les autres étaient encore dans l’eau. Je retrouva un autre jeune homme sur la plage…on aurait dis que j’essayais de le séduire mais il me repoussait. Nous attendions sur la plage, comme si on attendait que les autres arrivent !!!

    <o:p> </o:p>

    D’un coup une vieille femme arrive et nous dis que si on est majeur on est obligé de consommer pour avoir accès à la plage. Moi je lui dis que je suis mineur, mais elle me regarde avec un air mauvais…je la sentais pas. Elle repartit et tourna l’œil sur  la route pour vérifier si l’on se dirigeait bien vers le bar de la plage. J’était la seule à la contempler repartir. D’un coup ces yeux devinrent rouge un instant. Je paniqua de nouveau et prévint les autres avec qui j’étais. Ils me prirent pour une folle. Elle revient pour nous menacer de nous virer de la plage si on ne consommait pas. Moi je sais pas pourquoi j’avais trouvé un verre en verre épais avec une paille jaune dedans que je tenais à la main. Cette fois si je dis au jeune homme charmant de la regarder partir avec moi, et qu’il verrait ces yeux rouges. Et en effet, elle nous regarda et ses pupilles devinrent rouge écarlate. On se regarda tout les deux, et se précipita prendre une consommation…Une boisson bizarre avec une texture épaisse comme de la crème…

    <o:p> </o:p>

    Mon rêve s’arrête la…

     


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