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  • Je me retrouve sur un parking, avec ma meilleure amie. Nous nous apprêtions à retourner à sa voiture. Elle me devançait de quelques mètres. Soudain, surgissant de nul part, arrive un homme qui me surpris, au point de trébucher et de m'étaler par terre sur le ventre. Mon visage toucha le goudron chaud. Étant encore allongée, je détailla cet homme : je le voyais de dos, il portait une cape entièrement recouverte de moules et d'algues vertes.
    Cela plus le fait qu'il importuna rapidement mon amie suffit pour me faire partir dans une longue crise de rire.
    Celui ci disparu très vite quand, en me le relevant, je tomba nez à nez avec mon ex. Il se trouvait dans l'une des quelques voitures qui envahissait le parking à l'heures ou nous, nous partions. Bref, je n'arrivais pas à définir si son regard était méprisant ou interrogateur.
    En attendant je me rendis vite compte qu'il s'était garé à l'emplacement de ma copine. Elle etait donc parti sans moi. En me retournant, je vis au loin un leger accident ou plutôt un accrochage. Je me rendi vite compte que mon amie était impliqué face à une twingo.
    Allant à ca rencontre, je m'apercu soudain que tout le monde ce mis à courir dans tous les sens. Je vis alors qu'un incendie avait été déclenché.
    Avec mon amie, nous sautions ni une ni deux dans la voiture et partions.
    Après un peu de route, nous nous retrouvions près de la mer.
    Nous descendons vers la plage en longant un petit muret ou une sorte de rempart, afin de rejoindre d'autres amis, qui etaient deja sur la plage. C'était une plage de nudistes...
    En ou callant derrière des rochers afin de se cacher au mieux des regards (en particulier pour moi) nous devions tous nous déshabiller.
    C'est à ce moment là, que je me rendi compte que ma meilleure amie était enceinte de plusieurs mois.
    L'après midi ce passa plus ou moins bien.
    Au moment de nous rhabiller et de repartir, un couple de retraiter nous interpelle (moi et mon amie) afin de nous vendre un pot d'huile de massage. Le pot etait en plastique, en forme de nounours ou de corps humain, marron avec un bouchon rouge. On aurait dis les pots de miel bas de gamme que l'on trouve dans les grandes surfaces.
    Je ne me fis pas prier pour les envoyer vite bouler, en les traitants d'arnaqueur, de voyeur, etc.

    FIN

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  • Je résidais dans un immeuble au bord de la plage.
    Je ne me souviens pas si s'était une résidence de vacance ou si j'y habitais.
    J'étais accompagnée d'un jeune homme.
    Au sein de l'appartement il y avait apparemment un problème et nous devions brancher un tuyau, que nous avions fais passer par la fenêtre, à un robinet au bord de la plage.
    En appuyant sur le bouton, afin que ce qui était censé sortir du tuyau sorte (une substance de "je ne me souviens plus quoi"), une flamme apparu.
    A ce moment la je me retourne vers mon ami et lui demande s'il a laissé le gaz ouvert.
    Il me regarde d'un air hébété, et en me retournant vers l'immeuble, je le vois exploser et prendre feu.
    Alors nous courrons vers ce dernier, où la population et les pompiers affluaient.
    Il y avait, en bas de l'immeuble d'à coté, une sandwicherie.
    Le but des pompiers était de récuperer tout les sandwichs qui étaient entrain d'étre fait au moment ou l'immeuble avait pris feu, et de les réutiliser en enlevant les morceaux de doigt ou autre qui avait été carbonisé et resté sur le casse-croûte au moment ou il y avait eu cette explosion ainsi que l'incendie.
    Et de les mettre à la vente.
    Comme s'il y avais la famine ou penurie de sandwichs !


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  • J’étais partis chez mon cousin et avais passé la nuit chez lui avec un super beau mec (un ami a moi qui fais mannequin a ces heures perdus) bref après quelques hésitations et peur de se lancer nous passons une nuit torride comme si nous nous étions retenu de se toucher depuis des années c’était un concentré de sensation intenses.<o:p></o:p>

    Le lendemain matin arrive et je dois me lever tôt pour me rendre à la piscine avec un gros porc. Je demande a se qu’on me laisse un croissant car le temps que je me prépare je serais un peu en retard.  <o:p></o:p>

    Arrivé dans le salon le gros lard c’était mis a tout manger et ne m’avais vraiment plus rien laisser a manger ou que des trucs que je n’aime pas. Je fis plusieurs fois le tour du self pour voir si je pouvais trouver quelque chose et des que quelque chose m’intéressait, il sautait dessus en s’enfilait toute la bouf. <o:p></o:p>

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    Arriva l’heure de partir et donc de rejoindre la piscine. Mon cousin m’avait indiqué de prendre la route numéro 7 qui était le chemin le plus court malgré les inconvénients sur le chemin : attendre que les animaux se poussent gentiment de la chaussé. Donc nous nous lançons sur cette route. Au début tout allait bien quand je vis un troupeau de chevaux noir et blanc traverser la route et continuer de galoper dans la forêt qui se trouvait sur ma gauche. En suite, je du ralentir car il y avait une vache sur le milieu de la chaussé entrain de me regarder et ruminer. Elle aussi était blanche avec des taches noires. Je fus obliger de passer sur le coté de la chaussé pour pouvoir continuer a avancer et l’éviter. Puis j’arrivai dans un bouchon, les voitures étaient toute arrêté et je vis mon cousin qui se tenait debout a quelque mettre de la avec un animal prêt de lui qui semblait faire l’attraction et donc qui causait le bouchon. Me cousin me vit et vint me voir l’animal le suivait et l’animal se mit a mettre un coup de griffe a ma voiture. C’était un lion. Mon cousin m’indiqua qu’il n’avait pas l’aire de m’apprécier et me recommanda de fermer mes vitre. Ce qui fut impossible car elles semblaient bloqué et ne voulaient plus remonter ? Je commence a être prise de panique et l’animal le senti aussitôt et se mit à vouloir me mordre et me dévorer. Mon cousin, en s’éloignant du véhicule, m’hurla de faire demi tour et de rouler le plus vite possible pour semer la bête qui semblait incontrôlable. Je fit donc demi tour et me mit a tenter de passer les vitesses mais la panique me fit perdre tout mes moyens au point de plus pouvoir passer une vitesse et appuyer sur ce putain d’accélérateur ! Le lion me suivait et continua a me foutre des coups de griffe puis se mit a mordre et s’en prit a ma main droite. J’essai de l’enfoncer dans ca gueule et le distraire pendant que j’effectuais mes manœuvre puis il parti. <o:p></o:p>

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    Quelques temps après alors que je m’étais remise en chemin, je vous arriver mon chien a toute allure, sur le coup je panique en pensant que c’était encore le lion mais rapidement je reconnu mon berger allemand et il sauta sans grande difficulté par les fenêtres de la voiture qui était ouverte. Il semblait terrorisé et je voyais qu’il tenta de se cacher. D’un coup je vis une lionne s’approcher elle fit le tour de la voiture et arriva à y entrer en passant par le coffre. La je la vis s’attaquer a mon chien alors je lui mettais des coups sur la gueule en tapant sur son museau mais rien y fait elle attrapa mon chier dans le coup et j’entendis un craquement. Je me mis a pleurer et hurler et a taper de toute mes forces sur la lionne qui prit fuite. Alors je m’approchai de mon chien qui s’emblait sans vit et regarda son coup. Il ne semblait pas saigner il y avait quelque égratignure a ma grande surprise. Je filai alors chez un vétérinaire qui m’indiqua qu’il y avait deux possibilités : soit mon chien allais faire un mouvement qui remettrais tout en place d’un coup et tout irait mieux la meilleur solution mes la moins sur ! Soit il ferait un mauvais mouvement de la tête et tomberais handicapé ou mourrais dans d’affreuse souffrance.<o:p></o:p>

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    Le choc émotionnel de ce rêve me fit arriver dans une sorte  d’endroit alternatif entre le sommeil profond et le réveil mais où en fin de compte je continuais à rêver. J’étais dans mon lit bien entendu et dans ma chambre mais j’entendis des pas s’approcher de moi et un homme se pencha sur moi, qui me trouvais allongé sur le ventre, et me déposa un baisé sur le haut du dos en plein sur la colonne vertébral. Puis j’avais l’impression qui l’était resté planté la, comme pour m’observer. <o:p></o:p>

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    Cette fois si ce fut l’émotion qui était la frayeur et le mal être qui m’envahit et je me réveillai tout doucement ouvrit les yeux mais ne vit personne. J’avais d’ailleurs peur de voir quelqu’un donc je ne préférai pas regarder trop longtemps non plus autour de moi.<o:p></o:p>


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  • Je me retrouve sur une sorte d'île et dessus il y a 2 chalets, l'un au nord et l'autre au sud. Je me trouve sur le chalet au nord de l'île. Un groupe de personnes au moeurs très étrange nous avaient pris en otage. Ils devaient apparemment faire une sélection de personne pour rejoindre leurs camps. Nous étions tous assis comme dans une sorte d'amphithéâtre. Il y avait ma mère avec moi. Ils demandèrent lesquels d'entre nous étaient chanceux. Ceux qui levèrent la main les rejoignirent. Moi je suis quelqu'un de très chanceux mais ma mère me dit tout bas que c'était sûrement encore l'un de leur piège et je ne devais pas me dévouer. Alors le groupe partir avec quelque uns des autres. Malheureusement ce n'était pas un piège. Il avaient jugé la bonne fois des gens et les avait installer dans l'autre chalet au sud de l'île. Eux étaient donc maintenant en sécurité. On se demandait tous ce qu'il allait nous arriver. Une atmosphère de stress régnait. Je regardais les gens tour a tour en me demandant se qu'il pouvait bien nous arriver, je dévisageais les couples en essayant de tout miser sur un dons que je pouvais avoir tel un sixième sens ou une intuition, a savoir quel pouvait être l'avenir de chacun. Ensuite l'un d'entre eux revint et nous demanda si parmi les femmes il y en avait des vierges. Dans la réalité de mon rêve je l'étais. Cette fois si je ne voulais pas rester bloquer ici, au bord de l'eau dans ce chalet. Malgré le regard de ma mère j'étais la seule à me désigner et leva ma main. Je retirai alors une chose de mon corps, on aurait dit une sorte de grosse anémone velue où on lui retrouvait en regardant bien quelque part la forme du sexe d'une femme. Ils avaient l'air ravie et m'escorta comme si j'avais une offrande pour eux.


    Arrivé dans leur chalet je vis le premier groupe des "chanceux" qui les avaient rejoins. Ils avaient l'air satisfait d'être la malgré une étincelle de peur et de doute qui était encore dans leur regard.
    Il y avait, debout face à moi, un jeune homme magnifique  que réveilla en moi une forme  d'excitation intense. Je marchai vers lui et  plongea mes mains en avant avec l'offrande de ma virginité. Il y avait comme une alchimie entre nous. Il reçu mon offrande avec beaucoup de respect et de joie. Ces compagnons lui firent alors signe. Il était apparemment autorisé à partir avec moi. Nous marchions dans un silence absolu sans se regarder jusqu'en haut d'une falaise avec une magnifique vue sur la mer. Il y avait un siège noir en fer. Cela faisait tache dans cette magnifique verdure. A la fois coincé entre une sensation de malaise mis aussi très à l'aise et excité par la présence de ce mâle à mes cotés je m'allongea prés du siège et lui s'assit.

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    Je le regardai alors droit dans les yeux, tous deux nous ne pouvions plus nous contenir. Il se mit a cheval sur moi et m’embrassa. Je senti une onde de chaleur traverser tout mon corps et je n’avait qu’une envie le déguster encore et encore. A peine ai-je eu le temps de me remettre de mes émotions que je senti son sexe fort et dure entrer en moi. Je ne ressenti aucune douleur, j’étais inconsciemment prête a l’accueillir en moi. Ce fut rapide l’on recommençait plusieurs fois de suite les regard que l’on se lançait remplaçait les mots. J’étais folle de lui. La puissance de son corps virile et sa force sauvage m’envoûtaient. Ensuite il me porta et m’installa sur ses genoux. Avec un léger déséquilibre je percuta une sorte de poignet noir au dos du siège et tira dessus pour me retenir et ne pas tomber. Je vis alors un puissant jet d’eau partir du siège et inonder tout le bas de la falaise pour se jeter dans la mer. Je désactivai rapidement la poignet.

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    Tous ceux du chalet du sud nous vinrent rejoindrent mais s’installèrent a distance de nous, comme pour nous laisser notre intimité. Mais c’était aussi pour mettre à l’avant d’un spectacle odieux qui allait s’en suivre.

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    Tous les gens avec qui j’étais au chalet du nord étaient dans la mer il nagèrent comme s’ils tentaient de s’enfuir. Je vis soudain des mouvements dans l’eau, comme une chose de surnaturel et un raz de marée géant se formait. Il allait engloutir tout le monde. Sur ses genoux je me sentais intouchable, sans sentiment pour eux et à l’abri. J’étais invincible.

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    La puissance de cette vague immense déferlant sur eux les fit éjecté dans les air certains réussir a se rattraper a la falaise et atterrirent près de nous, s’approchaient et tentaient de s’agripper a nous. Parmi eux il y avait une fille. Par mépris plus que par jalousie je la regardai et active cette fois volontairement la manette derrière le siège et de l’eau se mit à jaillir de tous les recoins. Tous furent engloutis. C’était le spectacle du jour. En repartant j’étais a la fois rongé entre remord et satisfaction.

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    Quelque temps c’était écoulé, et il m’avait offert deux fils magnifique. Nous sommes un jours partis nous promener quand l’un d’entre eux découvris des œuf par terre. Il y en avait des tout bleus et des verts avec des dessins. Les bleus nous intriguèrent plus qu’autre chose. Nous nous mirent à les suivre et nous tombions nez a nez avec un cyon de terre ou les œufs étaient déposés deux part deux. Alors on les suivit jusqu'à tomber sur un œuf énorme. Je dis a mes fils de rester a distance, comme si j’avais un mauvais pressentiment. Je ramassa alors le très gros oeuf et le retourna. Je vis qu’il était ouvert. La chose qui était dedans avait disparu. Je me releva et chercha du regard tout autour de moi. Au loin je vis un arbre. Et je n’eu pas le temps de réagir qu’une sorte de lézard mi poisson préhistorique couleur saumon avec des yeux et ailerons rouges se mit à m’arriver droit dessus la gueule ouverte. Je me baissa juste a temps pour l’éviter et cria a mes enfants de courir et d’écraser tous les œufs bleu qu’ils virent sur leur chemin en ignorant qu’il y avait des œufs vert. Le plus grand de mes fils inconsciemment se tourna et commença à descendre vers le nord et moi je lui hurlais de revenir. Il fallait absolument retourner au sud. Ils me suivirent et mon rêve s’en arrête la !



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