Bon alors, je me voie dans un aéroport a la caisse avec ma soeur entrain de négocier le billet d'avion, mon chèque pour payer était déjà tout prés. Il avait une valeur de 1257 euros environ si je ne me trompe pas.
Bref, je paye et monte dans l'avion direction les états unis. En montant, je croise le regard d'un métisse qui me sourit. Je le lui rendis timidement.

L'avion volait bas. Il s'arrêta une première fois suite à une annonce d'orage violant sur une longue route droite, en terre. Ca n'avait rien d'une piste d'atterrissage. Certain sortaient de l'avion pour prendre l'air. Moi je restais dedans.

En suite on repart, et l'on suit des raille, il y avait un train noir dessus, une sorte de locomotive a un ou deux wagons, et on la suit, on ralenti pour être à la même vitesse et on s'arrête. A l'endroit ou les railles se terminait un homme assez costaud, avec un gros sac a dos attendais pour récupérer l'avion. On s'arrêta une seconde fois et il embarqua avec nous.

Je n’ai pas l'impression qu'on devait être nombreux dans l'avion même s'il me paraissait si grand.

Ensuite on repart, et cette fois on reprend de l'altitude. Je me mis à discuter avec le nouvel arrivant. Il me racontais qu'en Amérique dans les boites il y avait quasiment a 80% que des hommes. Ce fut une information qui me réjouissa même si je n'avait pas prévus de me rendre dans une discothèque la bas.
Puis, il se prépara à sauter de l'avion en parachute. Je le regardai s'éjecter dans les airs et ouvrir sans difficultés  le parachute.

Le troisième et dernier arrêt de l'avion fut définitif. On se retrouva dans une forêt, avec du sable au sol. Apparemment nous étions arrivé. Nous avons donc commencé à descendre dans la forêt, tous ensemble mais en groupe désordonné, et j'entendis d'un seul coup un bruit bizarre dans un coin, entre deux arbres. Je saisie alors l'arc qu'avait une fille derrière moi a son bras, et me prépara a tirer vers l'endroit d'où provenait le bruit. Il y avait déjà une flèche noire sur l'arc. Cela ressemblait a un arc en plastique pour enfant mais en amélioré. Il y avait dessus une encoche jaune de lequel on devait stabiliser la flèche avant de tirer la corde. Je ne semblais pas avoir bien compris le principe. Quand je vis a mes pieds une seconde flèche grise, je l'ajouta a la première sur l'arc, mais celle ci je la mis sur l'encoche et tira. Il se passa rien.

Peu de temps après nous avons continué notre marche, nous nous retrouvions devant une magnifique baie, avec une eau d'un bleu claire, turquoise écarlate. C'était paradisiaque!

Nous étions obligé de couper par les eaux pour continuer notre chemin. Mais plus on avançait dans l'eau, et plus les eaux devinrent noires et trouble....